Comme vous le savez,
l’Australie compte un nombre important de sites naturels et préservés sur ses
terres. Inscrits au Patrimoine Mondial de l’UNESCO, on peut notamment citer
Fraser Island, les Blues Mountains, le célèbre rocher Uluru ou encore le parc
national de Kakadu, tout au nord du pays. Malheureusement, le plus connu de ces
sites, la Grande barrière de Corail, pourrait être retiré de la liste…
Lors d’un séjour
linguistique en Australie, nombreux sont ceux qui choisissent de se rendre
sur la grande barrière de corail, s’essayer à la plongée, au
« snorkelling », à la navigation ou encore pour profiter de plages
paradisiaques.
Bien que tous les récits de voyageurs s’accordent pour dire que c’est une étape extraordinaire, l’UNESCO, ennuyé par la dégradation du site pense à la retirer de son classement.
C’est pendant la réunion annuelle à Doha qu’ils ont prévenu l’Australie : « Nous pensons à placer ce site sur la liste du patrimoine en danger ». Le ministre australien de l’Environnement, Greg Hunt, se défend en indiquant que son pays a investi des millions de dollars pour la protection de cette zone.
Mais depuis plusieurs années déjà, la grande Barrière subit les dégâts du réchauffement climatique, des rejets de nitrates et pesticides provenant des exploitations agricoles mais aussi du développement minier.
Beaucoup d’organismes et d’associations engagent des actions pour préserver le site. Renseignez-vous !
Bien que tous les récits de voyageurs s’accordent pour dire que c’est une étape extraordinaire, l’UNESCO, ennuyé par la dégradation du site pense à la retirer de son classement.
C’est pendant la réunion annuelle à Doha qu’ils ont prévenu l’Australie : « Nous pensons à placer ce site sur la liste du patrimoine en danger ». Le ministre australien de l’Environnement, Greg Hunt, se défend en indiquant que son pays a investi des millions de dollars pour la protection de cette zone.
Mais depuis plusieurs années déjà, la grande Barrière subit les dégâts du réchauffement climatique, des rejets de nitrates et pesticides provenant des exploitations agricoles mais aussi du développement minier.
Beaucoup d’organismes et d’associations engagent des actions pour préserver le site. Renseignez-vous !
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